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As countries modify or lift travel restrictions implemented in response to the COVID-19 pandemic, some variation in approaches is to be expected, but harmonization is important to re-establishing international travel. Despite challenges, the International Health Regulations (2005) and WHO recommendations can provide a balance of consistency and flexibility.

Appropriate regulation of stem cell-based products is essential to ensure public safety and trust while minimising unnecessary barriers to product development, but presents numerous challenges. Weaknesses of existing legal frameworks include variation between jurisdictions and poor fit between product categories and new technologies. The new European Regulation on advanced therapy medicinal products is an important attempt to provide a consolidated regulatory framework for novel products. Others can learn from issues encountered in its development, including definition of product categories, ethical concerns, and the application of regulations to small-scale production. Several aspects of the Regulation will be useful models, but some larger questions remain unresolved. As reform efforts move forward, harmonisation and sharing of expertise will be vital to effective regulation.

Greater availability of low nutritional quality foods and decreased consumption of nutrient-dense foods have negatively impacted the nutrient profile of the Canadian diet. Poor diet is now the leading risk factor for chronic disease and premature death in Canada. To help consumers choose healthful foods, nutrition labelling is one policy tool for communicating relevant nutrition information. However, there are notable shortcomings with current nutrition labelling systems, which make it difficult for Canadians to navigate the complex food environment. Government action on nutrition labelling systems, including front-of-package (FOP), shelf, and menu labelling, is required. In May 2016, we hosted a consensus conference with experts from research, policy and practice to review available evidence, share experiences and come to consensus regarding the next best steps for action on nutrition labelling in Canada. In this paper, we examine the evidence, opportunities and challenges surrounding FOP, shelf, and menu labelling. We outline recommendations, emphasizing FOP, shelf, and menu labelling as part of a standardized, coordinated and multi-pronged strategy supported by a robust, evidence-based nutrition profiling system. Recommendations for monitoring adherence to regulations and participation of stakeholders to avoid conflict of interest in policy development, implementation and evaluation are included. Within a comprehensive strategy, these recommendations can help to improve the nutrition information environment for Canadians.

Greater availability of low nutritional quality foods and decreased consumption of nutrient-dense foods have negatively impacted the nutrient profile of the Canadian diet. Poor diet is now the leading risk factor for chronic disease and premature death in Canada. To help consumers choose healthful foods, nutrition labelling is one policy tool for communicating relevant nutrition information. However, there are notable shortcomings with current nutrition labelling systems, which make it difficult for Canadians to navigate the complex food environment. Government action on nutrition labelling systems, including front-of-package (FOP), shelf, and menu labelling, is required. In May 2016, we hosted a consensus conference with experts from research, policy and practice to review available evidence, share experiences and come to consensus regarding the next best steps for action on nutrition labelling in Canada. In this paper, we examine the evidence, opportunities and challenges surrounding FOP, shelf, and menu labelling. We outline recommendations, emphasizing FOP, shelf, and menu labelling as part of a standardized, coordinated and multi-pronged strategy supported by a robust, evidence-based nutrition profiling system. Recommendations for monitoring adherence to regulations and participation of stakeholders to avoid conflict of interest in policy development, implementation and evaluation are included. Within a comprehensive strategy, these recommendations can help to improve the nutrition information environment for Canadians.

Cette étude porte sur la connaissance et l'utilisation du crédit d'impôt pour la condition physique des enfants (CICPE) du Canada, et se fonde sur les données des déclarations de revenus des contribuables de 2007 a 2009 ainsi que sur les données d'une enquete nationale qui sonde la perception des parents relativement au CICPE. Les données des déclarations de revenus de Statistique Canada nous permettent d'examiner ce que les contribuables ont fait, alors que les données de l'enquete nationale nous permettent d'étudier dans quelle mesure les Canadiens ayant des enfants de moins de 18 ans connaissaient l'existence du CICPE, leur perception de son importance, et son lien dans leur décision d'inscrire leurs enfants a des programmes d'activité physique organisés. Collectivement, ces deux sources de données offrent un portrait plus complet des personnes qui utilisent le CICPE et aident a déterminer les raisons possibles pour lesquelles d'autres ne demandent pas le crédit. Lors de l'analyse des données des déclarations de revenus, de multiples procédures de régression logistique ont été utilisées pour examiner les associations statistiques entre l'utilisation du CICPE et les montants demandés au titre de ce crédit, et des données socio-économiques et démographiques, telles que le revenu, la province/le territoire de résidence, le milieu de vie urbain/rural, l'âge des parents, le statut d'immigré, la structure familiale, le sexe de l'enfant et le nombre d'enfants. Nos résultats démontrent que les families monoparentales, celles ayant au moins un garçon et celles vivant en milieu urbain étaient plus portées a demander le CICPE et a demander des montants plus élevés. La probabilité de demander le CICPE était entre 4 et 30 pour cent plus élevée dans les familles dont les niveaux de revenu annuel étaient supérieurs a 20 000 $ par rapport a celles gagnant moins de 20 000 $ annuellement. Dans la plupart des cas, le montant demandé augmentait également avec la hausse du revenu, de sorte que les familles gagnant de 100 000 a 200 000 $ et celles gagnant plus de 200 000 $ faisaient des demandes au titre du CICPE qui étaient, en moyenne, de 125 $ et de 250 $ plus élevées, respectivement, que celles gagnant moins de 20 000 $. Nous avons utilisé des méthodes statistiques semblables pour notre analyse des données d'enquete représentatives a l'échelle nationale, afin de calculer les fréquences et les estimations de la prévalence selon les caractéristiques des participants, et pour vérifier les associations entre la connaissance et la perception des parents a l'égard du CICPE, et les principales variables sociodémographiques. Nos résultats démontrent que la connaissance du CICPE était élevée, puisqu'environ 65 pour cent des répondants ont dit avoir entendu parler du crédit. Le sexe, l'âge, l'éducation et le revenu étaient tous des éléments importants liés a la connaissance du CICPE : les femmes, les parents ågés de 40 a 49 ans, ceux ayant fait des études postsecondaires, et ceux gagnant plus de 40 000 $ annuellement étaient tous plus susceptibles de connaître le CICPE. Parmi ceux qui connaissaient le CICPE, moins d'un tiers estimait que le CICPE les avait motivés ou encouragés, ou leur avait facilité la tâche, a inscrire leurs enfants a des programmes d'activité physique. Nos résultats offrent une information objective concernant l'utilisation du CICPE et soulevent des questions concernant l'équité et l'efficacité potentielle du programme. Avec l'instauration de crédits d'impôt semblables au CICPE fédéral dans d'autres administrations fiscales provinciales, il est de plus en plus important d'évaluer de façon critique ces programmes et de mettre en oeuvre les changements nécessaires pour combler leurs lacunes et ainsi maximiser le rendement de cet investissement public.