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The power struggle between Ben-Gurion and the Knesset was not primarily concerned with who should hold the reins of power, but with the ideals that should lie behind government. Ben-Gurion did not think that the Knesset had the moral backbone required at a historic turning-point in Israeli history, when the character of the nation was being developed; although he conceded that it was capable of dealing with the more mundane administrative tasks. He therefore denied the Knesset the right to take part in the policy-making process, caused a decline in the support of the elite and the general public, encouraged partisanship, and endeavored to reduce competitiveness. Ben-Gurion was so dismissive of the Knesset and its members, that he would not even attend parties at which Knesset members were being given awards.

Le « New York Times » décritla position délicate du leader du Likoud, accablé par plusieurs enquêtes judiciaires. Et pour cause, ce dernier est sous le coup deplusieurs investigations - les affaires 1000 et 2000 - concernant des faveurs qu'il aurait accordées en échange de cadeaux, ainsi que des accords avec un journal local lui assurant une « couverture positive ».

Un troisième s'attarde sur le miracle économique israélien, pays sans ressources naturelles qui a su vaincre le spectre de l'hyperinflation, avant de se transformer en « nation start-up ». Car l'innovation a toujours fait partie de l'équation israélienne, « ce sentiment que nous pouvions construire quelque chose à partir de rien, et que notre avenir en dépendait ».

Une chose est sûre : invoquant des changements sécuritaires de premier ordre, le ministre de la Défense, Avigdor Lieberman, entend ferrailler dur pour doper son budget.Le leader du parti ultranationaliste Israël notre maison compte en effet demander au ministre des Finances, Moshe Kahlon, une rallonge budgétaire de 4,8 milliards de shekels (1,16 milliard euros) sur trois ans. En 1952, le fondateur de l'Etat hébreu, David Ben Gourion, avait dû taper du poing sur la table pour que le pays sabre dans ses budgets de défense.

En échange, Benjamin Netanyahu aurait tenté de faire voter une loi fiscale qui aurait profité à Arnon Milchan, tout en essayant de lui obtenir un visa aux Etats-Unis et en accordant un traitement de faveur à certaines de ses entreprises. « C'est le devoir de toute figure publique de renforcer la police et le droit et d'agir pour mettre fin au gouvernement dirigé par Netanyahu », a-t-il écrit sur Twitter.

La nouvelle, aussi explosive qu'attendue, a été servie en prime time, mardi 13 février lors du JT de 20 heures : la police israélienne a recommandé à la justice d'inculper pour corruption, fraude et abus de confiance le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, dans le cadre de deux enquêtes menées depuis près de deux ans. En échange, Netanyahu aurait tenté de faire voter une loi fiscale favorable à l'un de ses généreux amis, le milliardaire israélien Arnon Milchan, tout en essayant de lui obtenir un visa aux Etats-Unis. Selon le leader du parti travailliste, Avi Gabbay, « il est du devoir de toute figure publique d'aller dans le sens de la police et le droit, et d'agir pour mettre fin au gouvernement dirigé par Netanyahu », a-t-il écrit sur Twitter.

La nouvelle, aussi explosive qu'attendue, a été servie en prime time, mardi 13 février lors du JT de 20 heures : la police israélienne a recommandé à la justice d'inculper pour corruption, fraude et abus de confiance le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, dans le cadre de deux investigations menées depuis près de deux ans. En échange, Netanyahu aurait tenté de faire voter une loi fiscale favorable à l'un de ses généreux amis, le milliardaire israélien, Arnon Milchan, tout en essayant de lui obtenir un visa aux Etats-Unis. Selon le leader du parti travailliste, Avi Gabbay, « il est du devoir de toute figure publique d'aller dans le sens de la police et le droit, et d'agir pour mettre fin au gouvernement dirigé par Netanyahu », a-t-il écrit sur Twitter.

Etape essentielle vers la renaissance d'un Etat juif pour les uns, contribution décisive à la « catastrophe » infligée au peuple palestinien pour les autres, la déclaration Balfour sera célébrée par les Israéliens, dénoncée ou ignorée par les Palestiniens ou le monde arabe dans son ensemble. Le 13 septembre 1993, le jour de la poignée de main historique entre Yitzhak Rabin et Yasser Arafat, réunis dans la roseraie de la Maison-Blanche autour du président Bill Clinton, France Télévisions m'avait demandé de commenter en direct l'événement avec Ghassan Salamé, l'actuel représentant des Nations unies en Libye. Les propos de Rabin aux Palestiniens le 13 septembre 1993 sont toujours, sur un plan géopolitique tout autant qu'éthique, indépassables et incontournables : « Nous sommes destinés à vivre ensemble sur le même sol […] nous qui avons vu nos parents et nos amis tués sous nos yeux […] nous qui venons d'une terre où les parents enterrent leurs enfants : nous vous disons aujourd'hui, d'une voix claire et forte ; assez de sang et de larmes.