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"benefit–cost analysis"
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Performance et coût de la prise en charge de la malnutrition aiguë sévère avec complications à Kaya, Burkina Faso
by
Tankoano, Abel
,
Savadogo, Aly
,
Zoungrana, Bassibila
in
Benefit cost analysis
,
burkina faso
,
Childrens health
2019
IntroductionLes conséquences de la malnutrition aiguë sévère s’expriment en termes de santé et de survie de la personne affectée, mais aussi en termes de développement intellectuel de l’individu, sa productivité et globalement l’économie nationale. Sa prise en charge nécessite d’énormes moyens financiers. L’objectif de la présente étude est d’évaluer la performance de la prise en charge versus coût du traitement des enfants malnutris aigus sévères.MéthodesC’est une étude rétrospective réalisée de janvier à décembre 2014 auprès de 199 enfants de 0 à 59 mois admis au centre de récupération et d’éducation nutritionnelle de Kaya, Burkina Faso. Le coût de la prise en charge, la durée de séjour, le gain de poids journalier et la vitesse de récupération ont été analysées selon les méthodes de calcul standards. Le test de Mann-Whitney et de Kruskall-Wallis ont été utilisés pour comparer les médianes au seuil de 0,05.RésultatsComme présagé, les enfants de 6 à 23 mois étaient les plus affectée (51,8 %) et les infections respiratoires aiguës étaient les pathologies les plus associées (57,9 %). La durée médiane de séjour était de 9,0 (7,0 - 13,0) jours, la vitesse de récupération médiane de 100,0 (65,8 - 143,3) g/j et le gain pondéral médian journalier de 18,1 (11,6 - 27,7) g/kg/j. Le coût moyen de traitement d’un enfant malnutri est estimé à 15715,3 FCFA (25,2 USD).ConclusionLe coût de traitement est difficilement supportable par les parents des enfants malnutris d’où la nécessité de l’intervention du gouvernement et ses partenaires au développement.
Journal Article
Privacy paradox et adoption de technologies intrusives Le cas de la géolocalisation mobile/Privacy paradox and the adoption of intrusive technologies. The case of mobile location-based services
by
Belvaux, Bertrand
,
Hérault, Stéphanie
in
Benefit cost analysis
,
Consumer behavior
,
Impact analysis
2014
Although the personalization of the digital services is more efficient, this generally requires collecting personal data in return. This loss of privacy can lead to rejection of the technology support. Based on a study of 506 mobile users, this research aims to evaluate the role of the perceived intrusion induced by the use of mobile location-based services. It emphasizes the reality of this cost. But benefits can offset it (utility and ease of use). This cost-benefit logic allows better understanding of the privacy paradox. Companies have two levels of action: offer more benefits and better manage privacy issues with digital education for both companies and users.
Journal Article
MODÈLES DE TRAFIC ET ÉVALUATION DES AVANTAGES DANS LE CALCUL ÉCONOMIQUE
by
Bonnafous, Alain
,
Ray, Jean-Baptiste
,
Abraham, Claude
in
Computer simulation
,
Cost benefit analysis
,
Dispersion
2016
Les calculs de rentabilité des investissements dans le domaine des infrastructures de transport, fondés sur les analyses coûts/avantages, font intervenir ce qu'on appelle, parfois improprement, le surplus des usagers, qui constitue le plus souvent la majeure partie des avantages du projet étudié. Le calcul de ce bénéfice, ou de cet avantage (surplus), tel qu'il est recommandé en France par les instructions officielles, repose sur des avantages moyens. Or, on sait que cette « moyenne » recouvre en fait une large dispersion des données relatives a chaque usager. Cet article se propose de montrer que Eutilisation des surplus issus de modeles de choix discrets, conduit a des valeurs de bénéfices notablement supérieures a celles déduites des calculs « classiques » quand le coût d'usage du projet est élevé. Des simulations sont présentées dans le cas d'une autoroute a péage. Quelques suggestions méthodologiques sont déduites de ces résultats.
Journal Article
Comment intégrer le risque dans le calcul économique ?
2007
Dans cet article, j’explique pourquoi il est raisonnable d’actualiser des coûts et bénéfices futurs sans risque à 4% à court terme et à 2% à long terme. La prise en compte du risque du projet d’investissement doit se faire par l’imputation de primes de risque aux cash-flows futurs plutôt que par une hausse arbitraire du taux d’actualisation. Il faut aussi tenir compte des valeurs d’option de report de l’investissement. Ceci suggère que la baisse du taux d’actualisation récemment proposée par le Commissariat au Plan ne devrait pas augmenter massivement le nombre de projets d’investissement public dont la VAN est positive, si la prise en compte du risque est convenablement intégrée au calcul économique. How to integrate the risk into the economic calculation? In this paper, I explain why it is sensible to discount future risk free costs and benefits at a rate of 4% in the short run and of 2% in the long run. The riskiness of future cash flows must be taken into account by imputing risk premia rather than by an arbitrary increase in the discount rate. Option values must also be integrated in the analysis. This suggests that the recent reduction of the discount rate proposed by the Commissariat au Plan should not massively increase the number of public investment projects with a positive NPV if risk is correctly integrated in the cost-benefit analysis.
Journal Article
La suppression de la sectorisation est-elle une bonne chose ?
2009
La sectorisation mise en place en 1963 est l’objet d’un vif débat en France avec en arrière plan le débat sur les vertus de la concurrence scolaire. Au regard de son objectif de mixité sociale, son bilan peut paraître décevant. La carte scolaire est en effet un instrument relativement inefficace dans les espaces urbains marqués par une forte ségrégation spatiale, qu’elle a même tendance à accentuer. Par ailleurs, son fonctionnement même est fortement inégalitaire (stratégies de contournement de la part des plus riches, des initiés ; sélection des établissements). Dans ce contexte, notre système de carte scolaire aboutit exactement à ce contre quoi il cherche à lutter : une forte polarisation des établissements, de fortes inégalités et une performance globale du système relativement médiocre en comparaison internationale. Sa suppression annoncée à l’horizon 2010 et la mise en concurrence des établissements peut apparaître comme un moyen de déverrouiller le système et d’augmenter la qualité des établissements. Les études économétriques réalisées à partir d’expériences étrangères montrent cependant que les gains d’efficacité à attendre sont modestes. En revanche, le recours à la concurrence a plutôt tendance à accroître les inégalités. Nous développons un modèle où les élèves différent par leur revenu parental et leur aptitude, et où leurs résultats scolaires dépendent de leur propre aptitude et de celles de leurs « pairs ». Les collèges fixent leur politique d’admission de façon à maximiser un index de leur qualité. Dans ce cadre, nous prouvons que l’abolition de la sectorisation impliquera une ségrégation scolaire accrue, davantage fondée sur les résultats des élèves. Un exemple simulé permet de montrer en outre que la suppression s’accompagnera probablement d’une polarisation sociale accrue. Au total, le débat sur la carte scolaire apparaît relativement orthogonal aux défis que l’école a à relever. Les questions cruciales pour l’avenir de l’école concernent en effet davantage la mixité sociale, la redistribution des moyens en direction des élèves en échec scolaire, ou encore l’amélioration de l’efficience de la dépense éducative. Is abolition of French school zoning a good thing ? School enrolment zoning is the object of a deep debate in France with in the background the virtues of school competition. Towards its objective of social co-education, its assessment can seem quite disappointing. The map of school catchment areas is indeed a relatively ineffective instrument in the urban spaces marked by a strong spatial segregation, which it even tends to increase. Besides, its functioning is strongly unegalitarian (with by-pass strategies implemented by wealthier and/or insiders and screening devices of schools). In this context, the system ends exactly in what against what it tries to fight : a strong polarization of schools, strong disparities and poor performances in internationals comparisons. Its abolition announced for 2010 and the related stake in competition can appear as a means to unbolt the system and to increase average quality. Applied econometrics realized from foreign experiments show however that efficiency gains to be waited are at best modest. On the other hand, competition rather tends to increase inequalities. We develop a model where pupils differ with respect to their parental income and their ability, and where achievements depend on own ability and on peers’abilities. Each school chooses an admission policy to maximize a quality index. We show that abolition of school enrolment zoning will imply a stronger school segregation even more based on academic results. A computational example also demonstrates that this stronger scholastic segregation will probably come with a more pronounced social segregation. All in all, the debate can then seem relatively orthogonal to the challenges which the school has to raise. The crucial questions for the future of the school indeed concern more social mixity, redistribution of the means in the direction of the pupils in academic failure, or still the improvement of the educational spending efficiency.
Journal Article
Jacques Lesourne (1928-2020). Une méthode au service d’une vision
2021
Jacques Lesourne nous a quittés en mars 2020. Cet article rend hommage à celui qui fut un des économistes les plus féconds de sa génération. Il fait partie de cette lignée d’ingénieur économistes qui a fondé la microéconomie. La diversité de ses travaux – du calcul économique à la prospective puis à l’auto-organisation – trouve sa cohérence dans la méthode et dans la vision d’un économiste qui aura tracé sans relâche les chemins de la réforme. JEL Classification: D04, D5, H5, J01 Jacques Lesourne passed away in March 2020. This article pays tribute to one of the most successful economists of his generation. He belongs to the lineage of French engineers who founded microeconomics. The diversity of his work, from cost-benefit analysis to prospective and self-organization, finds its consistency both in the method and the vision of an economist who tirelessly paved the way for the reform of our societies.
Journal Article
Le Rapport Stern sur l'économie du changement climatique était-il une manipulation grossière de la méthodologie économique ?
2007
Approuvé par plusieurs prix Nobel (Mirrlees, Sen, Solow, Stiglitz) le Rapport Stern a néanmoins essuyé de vives critiques de la part de plusieurs économistes, en particulier nord-américains. Le cœur des critiques concerne les choix en matière de taux d’actualisation, le traitement de l’incertitude et celui de l’adaptation des générations futures à la nouvelle donne climatique. L’équipe Stern aurait manipulé la méthodologie économique afin de pouvoir dresser un tableau catastrophiste du problème et de conforter la justification d’une action forte et immédiate visant à limiter ce risque, ce qui correspondait à la position du gouvernement britannique commanditaire du rapport. De l’examen de ces critiques il ressort que le rapport Stern n’est pas à l’abri de tout reproche mais que sur l’essentiel il a raison contre ses critiques dans le cadre de la philosophie utilitariste qui sous-tend la démarche économique standard de l’analyse coûts-avantages. Toutefois, des réserves peuvent être émises quant à la pertinence de ce cadre analytique pour aborder un problème comme celui de l’effet de serre. Cela n’empêche pas plusieurs alternatives non-utilitaristes de rencontrer elles aussi des difficultés non négligeables. Quoi qu’il en soit, l’habillage en termes d’efficacité économique dont est revêtu le débat critique est largement trompeur, car le problème est dominé par le statut éthique à reconnaître aux générations futures et la légitimité de transferts imposés de coûts en contexte asymétrique, deux questions qui échappent à l’analyse économique. Was the Stern review of the economics of climate change a crude manipulation of economic methodology? Applauded by several Nobel-price winners (Mirrlees, Sen, Solow, Stiglitz) the Stern review has been soon exposed to severe criticisms of other economists, noticeably North-American. The core of those criticisms targets choices of the discount rate and the way uncertainty and adaptation of future generations to new climatic conditions have been approached. It is said that the Stern team had cooked the economic book in order to sketch a catastrophic picture of the climate issue and justify strong and fast preventive action, which was the well-known position of the UK government that ordered the review. The results of a critical examination of these criticisms are that the Stern review can be rightly opposed some methodological limits and shortcuts, but also that for essential matters, it is more right than wrong, in the context of the utilitarist philosophy that provides the conceptual basis of cost-benefit analysis used as well by Stern and his critics. Curiously, like a boomerang, the positions of certain of his eminent critics are revealed to be rather weak and inconsistent. Beyond, objections can rightly be made against the relevance of the cost-benefit framework to address such an issue as global climate change. It does not mean that non-utilitarist alternatives find an easier way, since several of them also meet important difficulties. Notwithstanding the choice of the best analytical framing, the dressing of the debate in terms of economic efficiency is deceiving since the issue is dominated by the ethical standing to be acknowledged to future generations and the legitimacy of imposed transfers of costs in asymmetrical contexts, two questions that economic analysis is not well-equipped to arbitrate.
Journal Article
Analyse de la dynamique d'occupation du sol et des retombées économiques de la Gestion Durable des Terres dans la Région de Tillabéri au Niger
by
Garba, Issa
,
Ismael, Allahi Bizo
,
Mahamadou, Ali
in
Arable land
,
Cartography
,
Cost benefit analysis
2023
In Niger, land degradation affects more than 100,000 hectares of arable land each year in a context where the need for agricultural and forestry products continues to grow. The objectives of this study, conducted in the commune of Kollo, are to evaluate the economic benefits of SLM and to analyze the dynamics of land use. The methodology of the study is based on a double approach, the use of cartography for the analysis of land use/land cover and cost-benefit analysis to calculate the economic benefits. The study took place in the commune of Kollo, precisely in Sakey Koira Tegui, on a silvopastoral site reclaimed in 2005 by the use of the Delfino plow. The main results show a significant regression (-40%) of natural vegetation formations in the commune, an increase (+10%) in degraded land and (+63%) in cultivated land. In terms of the use of ES, 63% of households use biomass from the site, 54% use NTFPs and 27% use wood. For a cost of 54,800 francs for the restoration of one hectare, the Net Present Value is 9,967,634 FCFA over a period of 13 years. Thus, for each franc invested in SLM, the return on investment is 182 francs.
Journal Article